Deux personnages, sortes de commissaires d’exposition, revisitent l’histoire de l’art à leur manière légèrement distanciée et loufoque. Ils posent leurs regards curieux,critiques et perplexes sur les bouleversements et les ruptures qui ont jalonné cette histoire.
Ils exhument des oeuvres, reconnues ou totalement imaginées, qui suscitent commentaires, digressions, mises en action ; le public est sollicité ,consulté et impliqué. Dans l’encombrement progressif de l’espace surgissent questionnements et points de vue sur la beauté, le travail, le regardant, le regardé, l’émotion immédiate ou différée, le caché, la peinture du dimanche, celle du lundi, la reconnaissance, l’oubli…
Derrière l’apparente fantaisie de notre proposition, nous abordons les problématiques nées avec l’irruption de l’art contemporain : le regard et ses adaptations, l’oeuvre et le discours, l’évaluation, la légitimité de l’artiste.
« on s’en fout qu’ça soit beau » a été créé au théâtre de l’Usine d’Èragny sur Oise en mars 2013 et repris en décentralisation le 28 juin 2014 dans la salle communale d’Ambleville (Val d’Oise).
Il a été joué 37 fois au Théâtre du Lucernaire à Paris du 09 décembre 2015 au 30 janvier 2016 où l’accueil du public et de la presse a été formidable…
…il continue son chemin aujourd’hui…
Nous proposons deux formes d’accueil pour le spectacle :
- en salle de spectacle
- Dans des espaces atypiques, musées, salles d’exposition, circuit décentralisé , salles des fêtes, gymnases, avec jauge réduite de 60 à 80 spectateurs.
Pour en savoir plus sur les futures représentations rendez vous à la page agenda.
Copyright photos : Dominique Chauvin